Portrait du Docteur Jean-Philippe Wagner

Depuis 1992, j’exerce une carrière en tant que cancérologue. Une nouvelle vie professionnelle se prépare.
Après des études à Lyon en oncologie , j’ai suivi une capacité d’évaluation et traitement de la douleur (algologue) en 1995 à Strasbourg.
Une double formation parce que je me suis très vite rendu compte dans la pratique que la douleur à cette époque là (et encore maintenant était mal prise en charge. Par ailleurs les médicaments ont des limites à la fois d’efficacité et souvent des effets secondaires. Depuis maintenant plus de de 10 ans je m’intéresse aux Interventions Non Médicamenteuses anciennement appelée thérapies alternatives et complémentaires. C’est d’une part l’application de soins techniques que l’on va proposer au patient : la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie et d’autre part des traitements ou des soins que le grand public appelle souvent médecine douce.
C’est maintenant prendre en compte ce que l’on appelle des soins de support. C’est à dire tous les traitements qui sont actifs qui font du bien au patient pour qu’il supporte mieux les interventions (supportive care).
Que ce soit aux symptômes qui sont liés au cancer, aux traitements que l’on inflige au patient, il y a des effets secondaires qui sont parfois importants, qui reste dans tous les cas gênant dans la vie quotidienne de la personne.
Les soins de supports peuvent utiliser des médicaments ou de la très haute et beaucoup plus maintenant ces thérapies complémentaires que je développe à Dunkerque dans un concept plus global appelés soins intégratifs.
En cancérologie il n’y a pas d’alternative il n’y a que des compléments. Par exemple avec l’homéopathie ça aide le patient, mais il faut être humble cela n’a jamais guérit un patient. Par contre la chimiothérapie, la chirurgie cela peut guérir des patients.
On appelle cela une médecine complémentaire.

La lumière rouge.

Rappelons d’abord que la biologie du corps ce n’est pas que de la chimie c’est aussi de la physique. Toute la recherche et tous les concepts médicaux se sont tournés sur la chimie et on oublié que nous étions des êtres physiques. On rencontre même des phénomènes quantiques à l’intérieur de la cellule. A la fin du 19ème siècle début du 20eme ont à fait pleins de découvertes en physique fondamentale et on a aussi développé des thérapies autres que la chimie.
Les romains avaient découvert l’efficacité de l’héliothérapie. Que la lumière avait un impact sur la santé. Dans les sanatoriums au début du siècle, pour traiter la tuberculose on mettait les personnes au soleil pour qu’ils aillent mieux ou qu’ils guérissent plus facilement.
Et puis, il y a eu de la recherche sur l’impact de la lumière qui est un phénomène quantique sur la biologie et les cellules. Surtout après les années 50/60, on a découvert que la lumière pouvait guérir, c’est une lumière particulière, il n’y a pas que la lumière rouge, mais tout le spectre lumineux. Par exemple pour soigner la jaunisse d’un nouveau-né en les illuminant avec de la lumière bleue.
Depuis une cinquantaine d’années, on a découvert les propriétés de la lumière rouge. A la fois les propriétés biologiques et grâce au développement technologique, on est arrivé à maitriser une lumière rouge de quelques longueurs d’onde très précises. Et donc permettre d’améliorer la guérison, notamment avec un effet anti-inflammatoire, anti-douleur, pour la régénération des tissus…
C’est de la photobiomodulation, (Low Level light Therapy) qui améliore les fonctions biologiques de la cellule et des tissus.
J’ai connu cette technique, grâce à un représentant de @thorlasermedecine avec une machine, nous avons testé sur les patients qui avaient des problèmes d’inflammation de la bouche ou des problèmes de dos. Après quelques patients c’est 100% de soulagement !
Je pratique en cancérologie la PBM depuis 2015. Avec la pratique on s’est rendu compte que cela servait à d’autres indications, comme les traitements anti-douleurs.
Par exemple, avec ma fonction aussi de spécialiste de la douleur j’ai remarqué sur plus de 300 patientes que cela a soulagé 80% des femmes post-mastectomie partielle ou totale

Puis, @James Caroll a développé en 2019 un concept pour le corps entier. Une capsule la @NovoTHOR